vendredi, septembre 23, 2005

Les Juifs ont-ils de l'ADN ?

Vous l'avez remarqué, comme moi : personne ne demande une recherche d'ADN sur les Juifs de l'Est. L'ADN pourtant, cette molécule qui permet d'identifier l'individu, d'un point de vue génétique, sert désormais à vérifier ou démentir des grandes énigmes de l'histoire. On l'a vu récemment à propos d'une recherche concernant le petit Louis XVII, et bien des affaires criminelles sont élucidées grâce à l'ADN. Or, nous savons qu'Arthur Koestler lui-même doutait de sa judéité "hongroise", et que c'est probablement ce doute qui l'a conduit très vite (dans les années 50) à quitter Israël, après avoir découvert, dans les travaux d'ethnologues juifs (condamnés au silence par les autorité israéliennes qui venaient de mettre le grappin sur la Palestine) que les Juifs de l'Est n'étaient pas juifs... mais des descendants des Khazars, un peuple turc, donc aryen ! Il reprit les travaux des chercheurs "juifs" et publia à Londres (il était devenu citoyen britannique, avec sa femme) un ouvrage que l'on s'efforça d'occulter bien évidemment "la 13e tribu". Dans ce livre, convaincant il faut le reconnaître, Koestler allait jusqu'à écrire que le "génocide des juifs" commis au XXe siècle pouvait relever d'une farce, la plus sinistre de l'histoire ! En effet, pour lui, ces "juifs" n'étaient pas des sémites, mais des aryens ! En somme, les aryens (nazis) auraient trucidé des aryens comme eux, ignorant tout naturellement de la thèse "khazar". L'Empire Khazar domina pendant plusieurs siècles une grande partie du Caucase, et au 8e siècle, le roi Bulan, et avec lui la Cour, choisit le judaïsme plutôt que l'islam ou le christianisme. Pris entre deux feux (Bagdad et Byzance) il préféra - pour maintenir son indépendance - adopter une religion dont le chef était... plus éloigné géographiquement. Par la suite, l'Empire disparut sous les invasions russes, et les tribus se dispersèrent vers l'Ouest, dans l'immense empire russe, et c'est pourquoi, nous explique Koestler on retrouve au Moyen Âge de nombreux "juifs" - venus de Khazarie - dans les grandes villes de l'Est !
En Amérique, on a découvert sur la côte occidentale du Pacifique un squelette vieux de plusieurs siècles d'origine "caucasienne", c'est-à-dire qui serait "blanc" et non "indien". C'est pourquoi les indiens refusent que l'on fasse un prélèvement d'ADN sur ce squelette, et ils ont exigé qu'il soit soustrait aux scientifiques, et le voici gardé jour et nuit comme un trésor, à l'abri de toute recherche. L'enjeu est considérable, on le devine. Les vikings auraient peut-être été les premiers à fouler le sol de l'Amérique !
Pourquoi ne pas faire un prélèvement d'ADN sur un squelette dans un vieux cimetière "juif" de Russie ou d'Ukraine pour le comparer avec l'ADN d'un squelette juif de Palestine ? Ne dit-on pas que le tiers des "juifs" venus d'URSS ne sont pas "juifs" ? Mais les autres ? Le sont-ils plus que les "faux" ? Que nous apprendraient par exemple l'ADN d'Ariel Sharon et celui d'Arafat ou de Mahmoud Abbas ? Que les Palestiniens sont plus sémites que les polonais et autres ukrainiens venus de l'Est, qui sont, eux, de purs aryens ? Sans doute à Tel Aviv les autorités israéliennes n'ont-elles pas envie de savoir ! Mais les Palestiniens ? Pourquoi ne demandent-ils pas une telle recherche à un laboratoire de grand renom international ?
Le résultat donnerait peut-être raison à Arthur Koestler qui, lui, eut l'intelligence et le courage de quitter un pays "où il ne se sentait pas chez lui"... La cause palestinienne en sortirait renforcée !

1 commentaire:

Erasmus Minor a dit…

Vous avez certainement grandement raison sur le bilan génétique mais vos conclusions sont accablantes de racisme ! Si les juifs d'Israël n'ont pas de raisons génétiques à être présent sur cette terre contraireent à leur propagande, c'est très bien mais ils sont là et n'en repartiront pas ! Quant à moi, on peut soupçonner raisonnablement la présence dans mon sang d'ADN tzigane, juif, espagnol et d'autres encore ! Où dois-je poser mes fesses ?

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