lundi, octobre 22, 2007

LE DIVORCE DE CÉCILIA FUT PROBABLEMENT NÉGOCIÉ A NEW YORK

Qu'on le veuille ou non, il y a bien eu un accord électoral entre Cécilia et Nicolas Sarkozy (et sans doute Richard Attias) avant l'élection présidentielle. Cécilia était à New York avec son amant, un milliardaire d'origine marocaine. Elle avait bel et bien quitté définitivement Nicolas. Pour celui-ci, cette séparation s'avérait préjudicable. C'est incontestable. Il a donc "supplié" Cécilia de revenir le temps de la campagne électorale. Elle a accepté de jouer le jeu dès lors qu'elle a obtenu le divorce... qui serait prononcé quelque temps après l'élection. Pas tout de suite évidemment : "on laissera passer quelques mois". Que Nicolas, une fois élu Président de la République, ait espéré que, finalement, elle resterait auprès de lui, quoi de plus naturel ? Mais, tout dans son comportement, montre que Cécilia n'avait aucune envie de renoncer à la vie qu'elle avait décidé de mener ailleurs, avec qui bon lui semble (un milliardaire de préférence). Ce qui nous trouble, c'est l'épisode bulgaro-lybbien. On a cru qu'elle avait trouvé un rôle de "femme de président". En réalité, une opportunité s'est présentée : pourquoi ne pas essayer de libérer ces pauvres femmes emprisonnées à Tripoli depuis des années en aidant Claude Guéant qui lui annonçait que la négociation entrait dans une phase décisive ? L'opération ayant été couronnée de succès, Cécilia a mis fin au contrat électoral qu'elle avait passé avec Nicolas. Somme toute, Cécilia est gagnante sur toute la ligne : divorcer, en effet, d'un Président élu (grâce à elle), lui a sans doute rapporté plus qu'un divorce conclu avec un candidat qui aurait été alors perdant. Lorsqu'on y réfléchit, un divorce post-électoral élyséen était bien plus prometteur ! En femme avisée, et intéressée, Cécilia a estimé "que le jeu en valait la chandelle". Mensonge et manipulation étaient bien au démarrage de la campagne du candidat Sarkozy. Quant à Richard Attias, forcément au "parfum" du simulacre, il s'est contenté d'attendre, le sourire en coin, le retour de sa belle. Bien joué, non ?

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