mardi, février 19, 2008

CHAPLIN, LES ROSENBERG, L'APPEL DU 14 FÉVRIER ... ET LA SHOA ! (7 der)

On peut comprendre que les Juifs, après avoir connu d'horribles malheurs tout au long des siècles, se préoccupent toujours de leur avenir. Le "communisme" qui devait régler définitivement "le problème juif" selon Saint-Marx, ayant échoué, et le capitalisme l'ayant emporté sous le sigle USA, il est normal que certains d'entre eux, pas seulement ceux d'Israël, n'envisagent l'avenir que sous la protection de la grande puissance d'outre-atlantique. D'où leur acharnement à vouloir relier l'ancien continent au nouveau par l'élaboration d'une "religion" commune, cette "shoa" que les Juifs américains, immensément riches, et qui ont certainement mauvaise conscience (qu'ont-ils fait pour leurs coreligionnaires massacrés en Europe ?) aident à "échafauder" depuis la fin de la parousie communiste qui aliénait une grande fraction de la diaspora à l'Est. Claude Lanzmann, le réalisateur de la Shoa, et bien d'autres, ne démentiront pas. Une "mauvaise conscience" conduit généralement à se montrer généreux. Un Juif américain, N.G. Finkelstein, fort courageux, a même appelé ça "L'industrie de l'Holocauste" (Éditions La Fabrique). Pensent-ils, avec Nicolas Sarkozy, en avoir fini avec la "politique arabe de la France", ce qui amènerait notre pays à se soumettre inconditionnellement à la politique américaine ? C'est probable, au point que l'union autour de la Méditerranée, évoquée par Sarkozy, pourrait bien n'être qu'une soumission aux intérêts d'Israël ! Notre homme va certainement en parler avec les dirigeants d'Israël lors de leur prochaine visite à Paris, et lors de son voyage à Tel Aviv...
Pour terminer cette longue intervention, je me félicite que des hommes (et des femmes) de toutes tendances politiques aient lancé un Appel le 14 février 2008. Cela ne ressemble pas encore à l'Appel du 18 Juin, mais nous n'en sommes plus très loin ! Les sarkozistes écument de rage. On les entend dire les pires âneries. Je leur rappelle qu'en 1940, de Gaulle fut lui aussi traité de tous les noms : aventurier, aristocrate se moquant du peuple, et même de "fasciste" après la guerre. En ce qui me concerne, lorsque j'ai vendu le premier numéro du Rassemblement en 1947, au porte-à-porte un notable fort bien mis, qui avait toujours le portrait du Maréchal accroché dans son vestibule, me balança :" Ouais, c'était facile de résister à Londres, derrière un micro"!
Je ne sais pas comment va finir Sarkozy. Mais nous n'avons pas le droit de le laisser faire : il est devenu dangereux.
Rappel "Israël-Palestine Vers un seul État ?"
http://www.lulu.com/content/1883129

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