lundi, août 11, 2008

LES JUIFS CONTRE LES JUIFS ! (7)

Dans son livre déjà cité, Jacques Attali s’émerveille devant la réussite des Juifs, et en conclut que « c’est le capitalisme qui a émancipé les Juifs ». En effet, dès lors que la manufacture l’emporte sur la terre, la ville et les ports sur les campagnes, les Juifs vont pouvoir investir leurs capitaux dans les entreprises, bien qu’au départ, les Anglais, soucieux de protéger leurs entreprises « nationales »… contre l’argent « juif » (fatalement « étranger ») vont institutionnaliser l’héritage familial – ce qui interdisait aux Juifs (aux étrangers) de les acquérir ! Mais les communications, entre pays, dans le commerce devenu mondial, vont naturellement les avantager, eux qui sont dispersés et présents quasiment dans tous les ports de l’import-export, du fait qu’ils possèdent et l’expérience et l’information, celle-ci jouant un rôle de plus en plus décisif dans l’expansion économique. Il faudra attendre tout de même le 19e siècle (après la chute de Napoléon et l’échec de son blocus économique) pour que la Reine Victoria anoblisse les premiers juifs pour « services rendus » à l’Empire de sa Majesté, et que l’Angleterre accepte un Juif (Disraeli) comme Premier Ministre, certes converti à l’anglicanisme - et qui servira l’Empire britannique comme nul autre !

Ce qui nous sidère, c’est le lien puissant (un vrai fil « rouge ») qui relie le marxisme au christianisme ! Par deux fois, un homme – un Juif ! – s’est dressé contre l’Argent. (On comprend désormais pourquoi ce « protestataire » ne pouvait être que juif, et violemment opposé à la « religion de l’Argent » !). Le premier combattait les « marchands du Temple », le second le « capitalisme ». Bien des chrétiens s’y sont laissé prendre en rejoignant le « communisme », croyant (le mot est approprié) somme toute retrouver là le combat du Christ trahi par l’Église croulant sous les fastes et les ors… que les souverains pontifes dénonçaient en paroles ! Et par deux fois, la tentative s’est produite au moment de l’apparition d’une formidable puissance étatique impériale, laquelle était nécessaire pour faire triompher une alternative suffisamment « attractive » : l’Empire romain hier, l’Empire allemand, au 19e siècle. Mais celui-ci fut dévoyé, pourrait-on dire, par l’ingérence « soviétique » née en Russie, le pays le plus arriéré d’Europe, à peine libéré du servage, que les stratèges « marxistes », russes et allemands, furent contraints d’intégrer dans leur entreprise « révolutionnaire » en raison du prolongement « yiddish-khazar » à l’Est. Ce qui tua net la « tentative » dans l’œuf ! Là encore, une comparaison s’impose : l’Empire romain, devenu « chrétien », n’a-t-il pas été balayé par les « barbares » venus de l’Est ?

Au lendemain de la disparition de l’URSS, la porte-parole de Lutte Ouvrière, Arlette Laguiller, pondit dans son journal un édito d’une rare ineptie (ce qui prouve bien que nos malheureux trotskistes, des différentes obédiences sectaires, n’ont encore rien compris). Cette brave femme affirmait, en effet, que « l’URSS n’était pas un régime socialiste » (ça, c’est bien vrai, Mme Michu)) mais elle ajoutait : « Dans un régime vraiment communiste, le nôtre, ce sont les ouvriers qui désigneront les meilleurs d’entre eux pour diriger les entreprises ! » L’imbécile ! Ça se voit qu’elle n’a jamais travaillé en usine ! Je me souviens très bien qu’à la SNECMA, où j’ai travaillé autrefois, et où le Parti dirigeait l’entreprise depuis la Libération, ce sont les membres du Parti, ceux qui avaient la carte dans la poche, qui donnaient les ordres ! Et naturellement, avec le temps, et rapidement, les ouvriers se détournèrent du Parti, jusqu’à le quitter, et le combattre ! Les « communistes » (les meilleurs ! ceux qui avaient souvent milité dans la Résistance) ne constituaient plus qu’une Nomenklatura où se retrouvaient les opportunistes et autres carriéristes. Mme Laguiller ne nous dit pas comment empêcher cela… sauf par une « épuration » permanente ? C’est-à-dire par une machine policière, faisant la chasse aux « mauvaises pensées » et aux « mauvais » communistes. Et c’est ainsi que le Parti est devenu partout où il fut au pouvoir un parti policier, au service des privilégiés du régime, et rien d’autre ! Regardez l’URSS, les « démocraties populaires », la Chine, Cuba, le VietNam, la Corée du Nord ! Cela ne vous suffit pas ?

Nota bene - Ceux qui veulent découvrir l’omniprésence obsédante des « juifs » en URSS doivent impérativement lire « Missions spéciales, mémoires du maître-espion soviétique Pavel Soudoplatov », le bras « droit » de Beria (Le Seuil éditeur) et un autre livre plus effrayant encore, si c’est possible !, « L’Évangile du bourreau » d’Arkadi et Gueorgui Vaïner, édité en poche chez Gallimard-Folio. Les auteurs de ces deux livres stupéfiants sont juifs, des témoins et « acteurs » de première main donc ! (à suivre)

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